
Une copie de la « Vue du port de La Rochelle, prise de la petite Rive » de Vernet (1762) est visible au musée du Nouveau Monde. Le peintre est un précurseur de l’intox : jamais le Vieux Port n’a pu accueillir d’aussi gros bateaux. © Crédit photo : Reproduction JC Sounalet / SUD OUEST
Ce vendredi 10 mai, en présence du Premier ministre Gabriel Attal et de Jean-Marc Ayrault, président de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage, le passé de La Rochelle resurgira. Il est de notoriété publique que la ville doit ses fastueux hôtels particuliers, ses belles rues pavées, ses longues arcades et autres signes extérieurs de richesse à la traite des esclaves.
Au XVIIIème siècle, au total, 500 expéditions partirent du port rochelais vers l’Afrique, puis les Antilles, cette route qu’on appelle triangulaire.
C’est bien moins que Nantes avec ses 1 200 traversées, et c’est juste devant Bordeaux....
Source Sud-Ouest
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